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Channel: Commentaires sur : Alzheimer, Parkinson…à qui profite l’explosion des maladies neurologiques ?
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Par : Michel

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"À qui profite l'explosion des maladies neurologiques ?" De fait, tout nous est dit ici : pas besoin d'être grand clerc <em>(et encore moins médecin)</em> pour savoir qu'elle profite à <a href="../../../06/17/vers-une-epidemie-de-maladies-mentales/" rel="nofollow">ceux</a> qui allument la mèche, tout simplement. "Toutes les données citées [...] sont démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses." Bref, en la matière il n'est d'autre secret que celui de polichinelle. On notera cependant dans cet article quelques "timidités" dans certaines formulations quant à l'interprétation de la plupart de ces données. Le "mercure, le plomb, le cadmium, les phtalates, pesticides, solvants" et autres cochonneries dans tout ce que nous ingurgitons, ce sont là des facteurs archi-connus des spécialistes, qui ont certes leur importance : mais il seraient dommage qu'ils noient le poisson. Pour ma part, je considérerai que dans un pays se targuant d'être le troisième consommateur du monde occidental de produits plus facultatifs que les premiers, il n'y a pas vraiment de hasard. <strong>"Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?"</strong> J'aime bien ce "aussi" qui, justement, ne contribue pas peu à noyer le poisson. Observons déjà qu'<strong>un quart</strong> seulement des notices affichent ces effets secondaires : faut-il que ceux-là soient si massifs qu'ils en rendissent impossible de ne pas se résoudre à les afficher un tant soit peu ! L'article le souligne bien par ailleurs <em>(à peine en filigrane) </em>: le médicament, ce n'est pas une pomme de terre. Ça rapporte beaucoup plus, ça brasse des enjeux considérables. Mais ce qu'on dit moins -ou très timidement, justement-, c'est que c'est plus souvent qu'on ne croit indifférent à la seule notion de santé... quand il ne lui est pas carrément hostile. [<a href="http://psychotrope.canalblog.com/archives/big_pharmas_big_money/index.html" rel="nofollow">1</a>][<a href="http://benzodiazepines.wordpress.com/" rel="nofollow">2</a>][<a href="http://antidepresseurs.canalblog.com/" rel="nofollow">3</a>] Pour les scientifiques un peu plus indépendants d'esprit <em>(et naturellement détachés de tout intérêt personnel par rapport à ce fromage juteux)</em>, dès lors qu'un médicament est allopathique <em>(par opposition à l'homéopathique)</em>, il comporte <strong>obligatoirement</strong> des effets toxiques, neurologiques ou autres. Le tout est évidemment que les effets bénéfiques l'emportent sur ceux-là. Ce qui veut dire, en attendant, que si les notices étaient véritablement honnêtes et transparentes, ce n'est pas tant un quart qui devrait afficher cet aspect désagréable... que <strong>la totalité</strong>. Question effets secondaires <strong>neurotoxiques</strong>, c'est plus vrai encore au sujet des "médicaments"© spécifiques qui vont fiche une <a href="http://www.mensongepsy.com/fr/?page_id=188" rel="nofollow"><strong>brouille infernale</strong></a> dans un domaine de la médecine (?) qui, quoi qu'on s'en prétende, est le plus mystérieux, le plus complexe, et le restera encore un bon bout de temps. Sous couvert de "science"© et de chimie, nous passons là chez des apprentis sorciers et des alchimistes... avec des effets logiques ne devant pas grand chose, par exemple, à l'aluminium de l'eau du robinet. Les effets négatifs l'emportent très largement sur les positifs... ceux-là ne profitant qu'à ceux qui ne les absorbent pas : en bon français, cela s'appelle -au minimum- marcher sur la tête. "Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques..." J'aime aussi beaucoup ce "même"... ainsi que "d’autres désordres neurologiques". De fait, on postule ici des "désordres neurologiques" antérieurs. Mais postuler, ce n'est pas diagnostiquer. Parce que diagnostiquer, cela demande de la vérification <strong>scientifique et clinique</strong>. Entre nous soit dit, y a-t-il beaucoup de patients qui subissent un <em>check up</em> complet avant de se voir prescrire des "médicaments"© de cette catégorie ? On sait parfaitement que dans la vie réelle, l'affaire est bouclée en cinq minutes chrono par une ordonnance... rédigée à 80% des cas par un généraliste, d'ailleurs. Un peu court pour prédéterminer une soi-disant "affection neurologique", non ? Mais suffisant pour la déterminer ensuite, entraînant non plus "<em>d’autres</em> désordres neurologiques" mais un PREMIER désordre neurologique d'ordre éminemment iatrogénique. En bon français, cela s'appelle mettre le doigt dans l'engrenage... et plus que jamais marcher sur la tête. "Quand un médicament pour <a href="../../../09/29/ces-medicaments-qui-favorisent-alzheimer/#comments" rel="nofollow">Alzheimer</a> provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments." "En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de <strong>savoir ce qu’il a pris comme médicament</strong>." Voilà en effet le b à ba : et ce n'est pas moi qui l'écrit ! J'ajouterai simplement que "mettre sur le dos de la maladie et pas du médicament" est le PRINCIPE même de fonctionnement de la "psychiatrie"©. "Effectivement, les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques constituent un fabuleux marché"... pour elle la première puisqu'elle ne vit QUE DE CELA, d'autant que chez elle le dégénératif se confond avec le "psychiatrique"© : dans la phrase ci-dessus, c'en devient presque un pléonasme. "Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé." Ici encore, on est bien timide dans le propos. Car le médicament est <strong>bel et bien sanctuarisé</strong>... sinon un produit dont la toxicité est <strong>scientifiquement</strong> supérieure à l'avantage <em>(très éventuel)</em> de ses vertus sanitaires ne s'appellerait tout simplement pas un "médicament"©. L'appeler tel contre toute évidence, c'est précisément <em>"permettre d’intégrer dans les circuits de prise en charge". </em>Ce qu'on ne pourrait pas se permettre avec des POISONS et autres DROGUES dures... qu'il est pourtant dans ses effets, dont on parle abondamment ici et ailleurs. <em>(mais pas assez puisque les limitant pudiquement à "un quart"...) </em>Le "médicament"© est également sanctuarisé parce que cela fait tout de même pas mal de décennies que l'on a fait gober aux gens que n'importe lequel de leurs <a href="http://www.carevox.fr/psycho-sexo/article/la-medicalisation-des-emotions" rel="nofollow">soucis existentiels</a> était peu ou prou à ranger dans la catégorie "désordre neurologique". Et hop ! abracadabra, la pilule magique et on n'en parle plus ! "Nous devons sortir d’une approche exclusivement thérapeutique" ? Mais nous en sommes sortis depuis belle lurette !!! Avec tous ces conflits d'intérêts qui nous sont présentés <em>(depuis <a href="http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/" rel="nofollow">longtemps</a> : ce n'est certes pas la nouveauté de l'année !)</em>, cette sanctuarisation plombante et universelle du "médicament"©, où donc voit-on une approche thérapeutique ??? Approches industrielles, politiques et fortement idéologiques, oui. Pour ce qui est de l'approche "thérapeutique", à moins de considérer que sortir les pieds devant  :skeleton: soit une marque de guérison définitive, on se fout littéralement du monde. "Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés." Belles intentions... mais totalement utopiques, parce qu'allant contre les intérêts de tous ces braves gens. Si on devait réellement aller au bout de cette logique, les scientifiques <strong>réellement</strong> indépendants sont là encore assez formels : il ne resterait plus qu'une INFIME POIGNÉE de médicaments à être autorisés ! Ce qui, en sus, ne ferait guère l'affaire de ce ancer dans le c

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